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--> échelle microscopique --> ensoleillement --> écoulement turbulent --> effet de serre --> éclair --> effet papillon --> équation hydrostatique --> état de la mer --> évaporation --> étage --> éclaircie --> échelle --> échelle spatio-temporelle --> Eumetsat --> échelle (de) Beaufort --> éclairement (énergétique) --> échelle de température --> échelle macroscopique --> écliptique --> émagramme --> effet (de) Venturi --> état du ciel --> éclipse --> effet de foehn --> équilibre radiatif --> échelle du climat --> écoulement laminaire --> évolution diurne
| METEO FRANCE - éclairement (énergétique)
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Niveau d'explication :
L'intensité de l'énergie que le rayonnement émis
par le Soleil apporte à la Terre en un point donné
de sa surface ou de son atmosphère peut être
évaluée à chaque instant par une grandeur
physique, l'éclairement énergétique en ce point,
qui est mesurable en watts par mètre carré (abr. :
W.m - 2 ).
Plus précisément, lorsqu'un milieu terrestre est
éclairé par le rayonnement solaire ou par toute
autre sorte de rayonnement électromagnétique , une
surface dont on trace les frontières par la pensée
à la jonction entre ce milieu et l'atmosphère
reçoit une certaine énergie de rayonnement (voir
fig. 1 ). Cet apport d'énergie dépend des
dispositions géométriques respectives de la
surface et du rayonnement, et pour souligner ce
fait on le qualifie de flux de rayonnement ; mais
en outre, plus l'intervalle de temps durant lequel
on observe le rayonnement frapper la surface se
prolonge, plus ce flux devient important : il est
donc préférable d'en avoir une estimation par
unité de temps ou, autrement dit, d'en mesurer la
puissance au sens physique habituel.
Une telle estimation ne suffirait toutefois pas Ã
caractériser l'intensité de l'apport d'énergie
provenant du rayonnement incident : en effet, elle
ne prend pas en compte la plus ou moins grande
valeur de l'aire de la surface observée, dont
dépend la plus ou moins grande valeur de la
puissance qui lui est apportée. Ainsi, pour
spécifier la puissance du rayonnement que l'on
observe, on fixe la superficie de la surface
réceptrice à l'unité d'aire : c'est alors la
mesure du flux de rayonnement par unité de temps
et par unité d'aire qui définit l'éclairement
énergétique du milieu considéré, au point qui
constitue le centre de la surface observée.
Droits de reproduction et de diffusion réservés METEO FRANCE 2003 |
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